En écoutant Claire Fourcade sur France Inter.
Un patient sur deux ne peux bénéficier de soins palliatifs alors qu’il en a besoin. C’est principalement la conséquences de choix économiques sur l’Ondam. Le fait qu’on n’ai pas encore fait du droit aux soins palliatifs un droit réel pourrit le débat sur l’aide à mourir. Si ce n’était pas le cas, il n’y aurait pas la crainte de transfert de l’un sur l’autre et l’on verrait concrètement que la loi Claeys Léonetti si elle règle l’immense majorité des cas, ne le fait pas pour tous, comme l’avait illustré le choix de Paulette Guinchard Kunstler, qu’on ne pouvaitt pas soupçonner de ne pas connaitre les possibilités de la loi ni d’être militante du « droit à mourir ».
Paris, Croulebarbe, le 20 mars 2025.
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